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Eliane et Jean (partie 1)

 

 

Eliane se love contre Jean ; elle le caresse, l’embrasse amoureusement. Je ressens comme de la gêne d’être ainsi témoin de leur fougue. Jean ne reste pas de marbre : il passe ses mains dans la chevelure de sa femme avant le la faire glisser le long de son corps. Ils entreprennent de s’effeuiller lentement avec beaucoup de sensualité et de désir. Malgré ma gêne je sens mon sexe tendu à l’extrême. Le chemisier d’Eliane est maintenant complètement ouvert sur un joli soutien gorge finement brodé, sa jupe a légèrement remonté laissant entrevoir son string assorti. Jean de son coté n’est plus habillé que d’un caleçon. Il est effectivement très musclé. Eliane me fait posé le plateau en me demande de me déshabiller. J’ôte mon pantalon, mes chaussettes, j’enlève mon tee short et commence à descendre mon boxer quand Eliane intervient. Elle s’approche de moi et observe avec attention la large tâche qui souille mon sous vêtement. Je suis littéralement trempé. Eliane passe ses doigts sur le coton avant de me les faire sucer un à un. Elle n’hésite pas à entrer ces derniers à l’intérieur de ma bouche, jusqu’au fond de ma gorge me provoquant des hauts de cœur. Elle entreprend ensuite de descendre elle-même le dernier rempart de mon intimité. A la découverte de mon petit sexe tendu, elle éclate de rire. Elle prend à témoin son mari qui sourit ironiquement puis se dit rassurer de ne pas être venu pour faire une partie à trois car elle en aurait été pour ses frais. Je suis conscient de la petite taille de mon sexe et m’y suis fait avec ses longues années, mais le fait que celui-ci soit la risée de mes invités m’humilie particulièrement ; pourtant il reste définitivement tendu et laisse même échapper une coulée d’excitation qui tombe lentement au sol. Avec une volonté certaine de m’achever, Eliane se penche vers son mari et extirpe le sexe de celui-ci de son caleçon pour faire des comparaisons. En le caressant, elle m’explique que le sexe de Jean est une vraie bitte, qu’elle est plus large, plus longue, qu’elle sait la rendre folle de plaisir. Une hampe qui s’accorde parfaitement avec le corps viril de Jean me dit-elle. Instinctivement je baisse les yeux et avale ma honte en silence. En plaçant la pointe de ses escarpins sous mes testicules, Eliane continue sa tyrannie. Elle décrit ma petite chose visqueuse sur un corps qui manque de sport et de fermeté. Elle dit néanmoins apprécier l’absence totale de poils qui atteste mon manque de virilité.

Eliane s’est présentée comme novice en matière de domination mais je la ressens comme une véritable dominatrice et y prend apparemment beaucoup de plaisir.

Elle m’ordonne de me mettre à quatre pattes et de venir baisers ses escarpins et ses jambes en m’interdisant toutefois de dépasser la lisière de ses bas auto-fixant. Je m’affaire à ma tâche avec délice et dévotion. Je suis aux anges…

De son coté, ma maîtresse se penche sur son mari et entreprend une fellation que je ne peux voir mais que j’entends et que je devine par les mouvements de la belle. Je veille à couvrir de baisers chaque millimètre du cuir de ses chaussures et de ses jambes. J’aime particulièrement embrasser ses cuisses à hauteur de la limite accordée ; mon nez vient alors au contact de sa peau moite et mon regard peut se poser sur son entrejambe toujours protégé.

Au bout d’un certains temps, Eliane me fait cesser. Elle me fait mettre à genoux les mains dans le dos. Elle me félicite pour ma prestation et me dit avoir apprécié mon obéissance. Pour me remercier, elle m’octroie le droit de déposer mes lèvres sur ses seins. Après s’être débarrassée de son soutien gorge, elle m’offre le spectacle de sa superbe poitrine. Eliane me rend fou de désir. Se servant de ses mains pour présenter sa poitrine, elle pose ses tétons gonflés sur mes lèvres. Je les embrasse, les lèche, les avale. J’ai beaucoup de mal à canaliser mes ardeurs, tant l’excitation est forte mais Eliane décide de cesser.

 

Pendant une pose collation que j’ai du servir nu, Eliane me demande si ce petit moment passé ensemble me plait, si cette rencontre correspond à mes attentes. Je lui confie que c’est l’un de mes plus grands moments de plaisir et que la confiance est installée à un tel point que je serais prêt à aller plus loin dans mon rôle de soumis. A mon tour je me permets de leur demander si cette première expérience de domination leur a plu. Elle m’avoue prendre beaucoup de plaisir et se sent un peu grisé. Elle souhaite elle aussi aller plus loin et vivre l’un de ses fantasmes avec ma complicité mais préfère en parler avec Jean avant.

Je me propose de les laisser seuls pour en discuter.

 

 

La suite bientôt

Sam 5 jun 2010 2 commentaires
j'ai laissé, voici à peu près une heure un commentaire qui évoquait un souvenir voisin, mais différent quant au but poursuivi par le couple ... la deuxième partie ( la votre ) compte tenu de l' " évolution " du comportement de votre couple accentue la similitude et m'a beaucoup troublé ... Juste un regret : vous avez écrit cela l'an dernier en laissant espérer une suite ... des développement ... Mais peut être n'ai je pas bien tout lu il est vrai que je découvre vos récits .
jip.pet - le 01/06/2011 à 10h35
Je suis un mari soumis et cocu
Notre ami Paul est venu nous rendre visite.
Il revient de 15 jours de vacances. Toujours musclé, le corps trapu, il m’a toujours impressionné par sa capacité à
s’exhiber totalement devant n’importe qui.
Sa calvitie bien avancée n’a pas atténué sa capacité sportive et son besoin de plaire.

Ma femme Nadia apprécie son humour décalé. Elle ne le trouve pas beau, mais lui reconnaît un beau regard.

Il est arrivé en fin de semaine. Amateur tout comme moi de vin fin, il nous avait offert une bonne bouteille. Pour
fêter sa venue, nous avons commencé par prendre un superbe apéritif.
Le vin coulait à flot, et l’atmosphère se réchauffait aussi vite que nos esprits s’enflammaient.

Malgré le froid extérieur, je claironnais que j’allais finir par un digestif dans la piscine.
Un verre à la main, je me suis déshabillé entièrement pour entrer dans la piscine. J’oubliais, alcool aidant, que je
portais ma cage de chasteté.
Nadia lui proposa de me rejoindre. Quand il me vit dans l’eau, il s’est rendu compte que je portais une cage. Mon
épouse, en s’approchant de la piscine avec des linges de bain, lui expliqua, l’air amusé
- Karim porte une cage car il le veut. C’est mon petit soumis et cocu.
Paul riait car il croyait à une plaisanterie
J’étais rouge de honte et vite dégrisé. Il m’a fallu montrer l’objet du délit. J’ai du avouer que j’étais bisexuel,
j’aimais le SM, et que j’aimais ma femme au point de lui laisser toute liberté.
Ma femme ne voulait pas parler de mon statut de cocu, pour ne pas donner des idées à Paul. C’était mal connaître
Paul.
Mon ami, devinant le trouble et l’embarras de Nadia, agit comme un chasseur ayant trouvé sa proie et ne voulant
pas la laisser perdre.

Il proposa à Nadia de venir dans la piscine. Elle refusa car elle avait froid. Paul sortit de l’eau avant que ma belle
s’en retourne à l’intérieur. La vue de son sexe en érection stoppa net mon épouse. Il lui demanda, en plongeant ses
beaux yeux bleus dans ceux de ma chérie, de l’essuyer. Elle s’avança timidement. Il la questionnait à voix basse, lui demandant si elle me cocufiait. Ma femme restait immobile, comme figée. Elle répondait dans un murmure.
Personne ne comprenait. Sortant de l’eau, je poussais Paul en lui disant « Embrasse-la, elle déteste qu’on lui
demande l’autorisation ! »
Paul ne réfléchit plus. Il se lance dans un long baiser. Avec surprise pour moi, je vis Nadia lui rendre et mettre ses
mains autour de son cou. Le temps semblait s’arrêter. Ils s’embrassaient si tendrement qu’ils en étaient que plus
beaux.
Paul prenait la tête de ma femme pour mieux l’embrasser. Elle lui caressait le torse, et effleurait sans cesse son sexe.
Mon ami ne restait pas inactif. De sa main gauche, il remontait la robe au dessus des fesses, découvrant avec
stupeur l’absence de string. Sa main droite pétrissait les seins.
Ma chérie s’écarta comme pour reprendre son souffle. Elle fit tomber la robe et apparut nue, dans toute sa beauté.
Paul s’approcha d’elle et la fit se mettre sur le dos. Il s’avança à genoux entre ses cuisses et entreprit de lécher le
sexe de ma femme. Elle s’arc boutait pour mieux profiter de cet instant. Tantôt, elle se tenait les seins, tantôt ses
mains se portaient sur la tête de son amant, comme pour mieux le guider. Dans un superbe râle, ma femme jouit.
Paul se redressa aussitôt et présenta son sexe bandé à l’entrée de sa chatte. Dans une invitation muette, elle le tira
vers elle pour qu’il s’enfonce. Paul prit son temps et s’enfonça lentement, déclenchant une jouissance immédiate.
Il ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle. Il pilonnait mon amour avec une force incroyable. Il alternait
les positions.
C’est debout que Nadia, jambes nouées dans son dos, les fesses contre le mur, accueillit l’orgasme de notre ami. Il
se déversa en elle en spasmes successifs. Il semblait ne jamais arrêter de se déverser dans la chatte de ma femme.
Paul fut le premier à se souvenir de mon existence. Je n’avais pas débandé depuis le début de leur accouplement.
Mon érection, comprimée par la cage, me faisait mal.
Paul me demanda de venir récolter le fruit de sa jouissance. Nadia me fit m’allonger sur le sol, avant de venir
s’accroupir sur mon visage m’offrant sa chatte béante à lécher. Le sperme commençait à couler. Je m’empressais de tout lécher, m’attardant sur les lèvres gonflées. La semence s’écoulait lentement, me permettant de bien profiter de cette chatte. L’odeur m’enivrait presque.
Nadia se mit à gémir.
Mais Paul ne l’entendait pas de cette oreille. Il était devenu le maître du jeu. Cette femelle lui appartenait. Lui seul devait lui donner du plaisir. Il nous fit donc nous relever.
Il m’ordonna de lui rendre sa vigueur. Je m’approchais du sexe flasque et le pris en bouche J’entrepris de lui faire
une fellation qui permettrait à ma belle de bien profiter de ce sexe.
En pleine érection, il demanda à ma tendre de se retirer dans notre chambre avec lui pendant que je rangerai la
maison.
Une heure après, la maison enfin rangée, je suis monté vers notre chambre. La porte était ouverte. Nadia, à quatre
pattes, subissait les assauts de son amant. Paul semblait infatigable.
Je me suis retiré pour aller dormir, comme ils me l’avaient demandé, dans la chambre d’amis…
lailatvx - le 27/11/2013 à 07h01