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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 06:18

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Je suis nu, à genoux, les cuisses largement écartées. Mes épaules sont posées sur le sol glacé du carrelage. Mes mains rejoignent mes chevilles en passant entre mes jambes. Je suis offert comme me l’a imposé ma Maîtresse.

Je n’ai plus la notion du temps et mon angoisse monte progressivement.

Ma Divinité a demandé de laisser ma porte d’entrée entrouverte. Un simple courant d’air permettrait d’offrir ce lamentable spectacle aux voisins.

J’entends le bruit de talons sur les marches qui mènent à mon appartement. C’est Elle.

Bien que je ne La vois pas, je La sens dans la pièce mais n’ai pas entendu la porte se refermée. La situation m’inquiète…mais l’excitation me gagne.

Maîtresse me pose un bandeau sur les yeux et, afin de maintenir mes cuisses écartées « comme une bonne petite salope » dit-elle, elle me fixe une barre d’écartement au niveau des genoux. Elle me lie ensuite les poignets aux chevilles.

C’est ainsi exhibé avec impudeur que je dois attendre ses prochains tourments.

 

Maîtresse saisit mes testicules à leur base et les tire vers le haut. Cette manipulation m’oblige une cambrure plus prononcée. Je sens ensuite un objet métallique qui emprisonne puis se verrouille sur mes bourses. Celui-ci doit être relié à ma barre d’écartement car je sens mes parties intimes étirées vers l’arrière. Le bondage n’est pas douloureux mais très inconfortable et humiliant.

Soudain je sens la morsure que je connais tant. Les lanières du martinet s’abattent sur mes fesses ouvertes. Les brins s’enroulent autour de mes cuisses écartées, cinglent mes testicules vulnérables, enflamment mon anus découvert. La punition est longue et mon corps finit par réagir malgré moi. Le moindre mouvement agit sur l’étirement de mes membres. Mon fessier me brûle et un plaisir étrange s’empare de moi.

Je dois remercier ma Maîtresse en lui baisant tendrement les pieds. Elle me détache les mains puis s’en va.

Je découvre alors que ma Divine Maîtresse a emprisonné mes testicules et mon sexe avec des menottes. Je devrais attendre notre prochaine rencontre pour être enfin libéré.

 

Par revesdesoumission.erog.fr - Publié dans : Fantasmes - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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Commentaires

J'ai donc regardé tes articles avec attention HUMMM je suis comme toi passif soumis esclave mais avec des Maîtres seulement. Je n'ai jamais été dominé pas des femmes et je ne sais pas ma réaction.
j'attends avec impatience la suite de tes récits
Un esclave SLRN 304-791-946
commentaire n° :1 posté par : SLRN 304-791-946 le: 29/05/2010 à 19h12
Un excellent texte pour une belle anecdote !
commentaire n° :2 posté par : jip.pet le: 01/06/2011 à 09h45
Une deuxième gifle me projeta immédiatement à terre. Aziz, l’amant de ma femme Nadia me releva par les cheveux. Lui se tenait les mains sur les hanches, la verge en avant, droite et fière. Moi Karim (lailatvx sur le net), je tenais mes joues entre les mains, les jambes relevées, je pleurais bruyamment comme un enfant. De la nasse s'écoulait de mes narines et mes yeux étaient des rivières.
- Alors, tu suces?
Un petit «oui» de défaite lui répondit.
Il patienta une seconde.
- Alors, j'attends !
D'un rapide mouvement du bassin, il secoua sa puissante colonne sous mon nez. Alors moi qui étais tout à l'heure encore prêt à abattre l'amant de ma femme, me mettais à genoux devant lui, baissais les yeux, soumis, prit doucement son zob dans mes deux mains et posai mes lèvres sur son gland qui, il y a peu, inondait la matrice de ma chère épouse.
- C'est bien « kahba » (pute en dialecte marocain), suce salope, tu vas voir ce que c'est qu'un homme, un vrai !

Il m'avait battu chez lui. Humilié. Il m'avait pris ma femme chérie. Réduit ma force à néant. Démontré mon infériorité. Fait chialer comme un gosse. Et maintenant, je le suçais avec application devant mon épouse souillée de son sperme.
J'ai englouti le gland et progressé sur la hampe. Je n'arrivais pas à aller très loin. Il me mit la main droite sur la tête, et me dit de faire attention avec mes dents. J'ouvrais au maximum les mâchoires. Je lui obéissais.
Il me faisait faire de petits allers retours, reculait ses hanches et avançait son zob alternativement. Je sentais son ventre écraser mon front. J'étouffais un peu, et cela me faisait bien sentir ma soumission face à cet homme. Bientôt, il me prit la tête entre ses deux mains pour accélérer le mouvement.
Je n'avais pas dû me débrouiller très bien. Son zob allait de plus en plus profondément, jusqu'à pénétrer ma gorge. Je ne tenais plus en équilibre, et mes mains se raccrochaient à présent à ses cuisses velues et puissantes. Je ne maîtrisais plus ma bouche qu'il utilisait selon son bon vouloir, comme un roi, et des flots de salive débordaient de mes lèvres pour couvrir mon menton et tomber sur ma poitrine. Lui-même, sa virilité s'ornait de mon humidité buccale. Je ne pourrais plus jamais me regarder dans une glace sans me rappeler cette scène.
- Ah… Connasse, lèche mes couilles! Mets-toi à quatre pattes!

J'obéissais. Je plaçais ma tête entre ses deux imposantes cuisses et la tournais pour placer ma langue sous ses bourses. Je rendais hommage à sa capacité reproductrice également bien dotée, et goûtais au goût un peu rance de ses testicules. Elles étaient déjà humides de ma première fellation.
Je sentis mon dos ployer sous le poids de son ventre. Mon visage s'écrasait entre ses cuisses, ses couilles et son chibre, je m'affaissais sous son poids, et mes fesses s'écartaient mécaniquement, lui offrant une entrée royale vers mon petit trou qu'il commença à caresser.
Je me débattais. D'abord, parce que je ne voulais pas qu'on me fasse ça, ensuite parce que j'étouffais. J'étouffais réellement. Ne parvenant plus à respirer, j'abandonnais la lutte tandis que des étoiles apparaissaient devant mes yeux.
Soudain, ma tête trouva de l'air. Elle venait de passer entre ses cuisses. Je pris de profondes inspirations, le corps abandonné à Aziz. Celui-ci me prit par le ventre, me fit coulisser et me reposa sur le dos.
- Tu vas voir, je suis gentil. Je ne vais pas te faire de mal. Je veux te faire du bien. Je sais faire beaucoup de bien, tu sais. Mais je sais que ce n'est pas facile, alors je vais te trouver quelque chose à faire pour faire passer la pilule.

Il prit la tête de mon épouse Nadia et la fit s'asseoir sur mon torse, à quelques centimètres de ma bouche. Pendant qu'il relevait mes jambes sans forces, il lui ordonna d'approcher sa chatte gluante de ma bouche. Je pouvais toucher mon épouse parce qu'il lui avait ordonné de se donner à moi.
Je goûtais sa liqueur à elle et les restes de sa saillie à lui. C'était amer et fort. Il avait pris son droit sur elle.
J'entendis un crachat qui atteignit ma rondelle. En attendant, ma langue qui connaissait le sexe qui avait perforé cette chatte fouillait celle-ci comme pour retrouver un peu de masculinité, ou peut-être, en creux, l'empreinte de son maître, qui n'était plus moi. Je n'avais plus de souveraineté sur ce con.
J'entrepris de laper le clitoris qui se présentait à moi, après avoir intégralement nettoyé sa matrice. Mon épouse gémissait.
Les doigts d'Aziz couraient autour de mon petit trou. Il le chauffa quelques minutes, puis il commença à picoter. Je tentais d'agripper les jambes de ma femme, mais ne trouvais que celle de l'homme assis sur mon torse.
- Tu commences à aimer, hein…
Un grognement négatif essaya de se faire comprendre, mais en réalité, je devenais moite et mon corps commençait à remuer. Son index grattait ma corolle. Il éclata de rire lorsqu'il vit, entre mes jambes complètement écartées, mon anus sauter vers son doigt. J'avais envie de le recevoir.
- Attends, Nadia lève-toi chérie, s'il te plaît… Alors, t'as compris cocu?
Un silence, je ne le voyais pas mais le devinais souriant, satisfait. Cela s'entendait à son petit air diabolique.
- Alors, c'est qui le Maître? C'est qui l'Homme? Celui qui peut mettre sa bite partout?
Je répondais d'une voix aiguë :
- C'est toi, c'est toi Aziz… Aziz…
J'avais chaud, mes jambes et mon bassin tournaient tous seuls. J'avais les yeux mi-clos.
- Alors, qu'est-ce que tu veux?
Mes idées n'étaient pas claires, mais l'instinct me faisait lui répondre.
- S'il te plaît Aziz… S'il te plaît… Je t'en prie… Mets-moi un doigt dans le cul! J'ai envie! Allez Aziz!!!
Ces deux dernières phrases criées exprimaient bien à quel point cet homme avait su m'exciter. Ma femme rit.
- D'accord, d'accord, je vais m'occuper de toi. Mais toi aussi, il faut que tu t'occupes de moi. D'accord? Alors, pendant que je m'occupe de ton cul, tu vas t'occuper du mien.
Il plaça ses fesses au-dessus de mon visage. Je projetais ma langue à la rencontre de son anus, sans dégoût mais avec envie et rapprochais son très large postérieur de mes mains. Il y avait un goût un peu âcre, qui m'excitait encore plus.
Sitôt mis à ma besogne, lui entreprit mon trou. Il y fit pénétrer une phalange qu'il fit lentement tourner. Il prenait tout son temps. Mon sexe était bouillant, mais je ne pouvais m'en occuper. A la place, je poussais des gémissements plaintifs, en écartant mes jambes comme si je voulais me déchirer moi-même en deux.
Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Il tourna pour élargir mes possibilités et lorsque je fus un peu assoupli, il y joignit un second. De ses deux doigts, il entreprit de me masser la prostate. Je progressais dans la jouissance.
De son autre main, il caressait ma femme, s'occupait de ses tétons, faisait courir sa paume sur sa nuque qu'il abaissa pour goûter son zob. S'abaisser pour lui, le terme est bien choisi.
Elle s'était abaissée pour vénérer sa virilité, je m'étais abaissé à nettoyer ce qu'il a de plus sale. On s'abaisse pour lui. Cet homme me rendait folle, il avait un talent immense pour s'occuper des femmes.
Une seconde… Je ne suis pas une femme !
Une caresse prodiguée par les doigts d'Aziz, courant dans mon rectum, fit s'évanouir cette réflexion. Je gémissais pour de bon, en continu. Un troisième doigt vint rejoindre peu après ses deux frères.
Pendant ce temps, ma langue s'enfonçait de plus en plus loin, visitait plus profondément son intimité. J'avais envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme je ne pouvais pas le faire, c'était son anus qui contentait ma faim. Car c'était cela: j'avais faim de lui.
Soudain, ses doigts arrêtèrent leur mouvement. Il les retira. J'eus brutalement froid et ressentis un vide profond. De la déception, aussi. Il se leva.
Je le regardais l'œil implorant. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui à présent ne m'intéressait plus. J'avais envie de lui. Je voyais son zob viril et imposant, doté de tous les droits, son ventre proéminent qui me dominait, ses cuisses puissantes et velues.
Lui me regardait de toute sa hauteur. Il mit son pied sur ma bouche. Avec délectation, dans une totale soumission, je passais ma langue entre ses orteils en gémissant. Je passais lascivement mes mains entre mes cuisses relevées, et approchais mes doigts de mon trou. Je le trouvais souple, humide et brûlant.
D'un petit coup, il me fit tourner la tête et abandonner ma tâche. Il se dirigea sans dire un mot vers le tas où se trouvait ma femme tout à l'heure. Il me regardait, impérial, méprisant. J'obéissais.
Arrivé à sa hauteur, tête baissée, il m'attrapa par la bouche, me cracha soudainement au visage.
- Chienne!
Puis il me projeta sur le tas de linge. Je poussais un petit cri de surprise. Sur le ventre, les bras me retenant faiblement au linge autour de moi, j'avais les fesses relevées, et le visage au niveau du sol.
Tournant légèrement la tête, je le vis se mettre à genoux, ses jambes enserrant les miennes, et son gland dépasser de ma raie. Il m'asséna une claque sonore sur la fesse.
- Ecarte tes fesses, grosse pute !
Encore une fois, je m'exécutais. Je baissais les yeux, rouge de honte. Aziz allait m'enfiler, comme une femelle. Et moi, je n'attendais que ça. Il avait raison. Je mouillais. J'étais une salope pour lui.
Aziz rigolait. Il me faisait lécher les doigts avec lesquels il m'avai
commentaire n° :3 posté par : lailatvx le: 27/11/2013 à 06h56
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